Professionnel, ce clavier à touches vierges ? Oui, pour vous permettre d’y acclimater les fonctions qui vous intéressent. Des séries de frappes, même, au besoin. S’il est volubile, c’est que d’un stimulus, il peut faire tout un laïus. Mais avant toute chose, voyons dans ce premier exposé comment se déroule la communication entre un clavier ordinaire et un PC, comment y greffer des raccourcis et comment s’en servir. Le mois prochain, ce sont alors les aspects techniques de l’opération qui viendront à l’ordre du jour.Une frustration que l’on subit avec de nombreux logiciels sous Windows, c’est d’être contraint de frapper une ribambelle de touches pour activer une seule commande. Prenons l’exemple d’un logiciel comme PageMaker : pour réussir une action aussi courante que le simple agrandissement de la zone affichée, il faut recourir à la corbeille haute (MAJ ou Shift), Alt et encore F7. Voilà trois touches à enfoncer simultanément. Mais pensons aussi à tous les caractères comporspéciaux, pour lesquels on doit presser Alt et former un nombre de trois ou quatre chiffres sur le pavé numérique.