Nous vous proposons ici, une variante sérielle de l’interface I2C au port EPP décrite dans le numéro 268 (octobre 2000). Cette approche prend tout son sens lorsque l’on sait que, sur les PC actuels, les interfaces COM sérielles ne sont plus nécessiares au clavier et à la souris (PS/2 actuellement) et restent partant à « se tourner les pouces ».L’électronique requise par une interface I2C sérielle se différencie bien évidemment d’une interface destinée à se voir reliée à une imprimante pour la bonne et simple raison que l’on y travaille à d’autres niveaux. On ne sera guère étonné partant de trouver au coeur de l’électronique représentée en figure 1, un circuit de commande d’interface intégré du type MAX232 (ou compatible) utilisé dans sa configuration standard. Le dit composant se charge de la présence des niveaux de signaux corrects sur l’interface sérielle de sorte que même les ordinateurs portables, réputés pour avoir des problèmes lorsqu’ils ont affaire à des niveaux trop faibles, peuvent travailler sans le moindre problème avec cette interface.