A priori, le potentiel des techniques numériques devrait bénéficier à l’humanité entière. Celles-ci peuvent être un moteur de croissance économique, stimuler la création d’emplois et fournir de nouveaux services aux populations. Cependant, la réalisation pratique de ce potentiel n’est pas optimale, pour dire le moins. Même la Banque Mondiale est d’avis que « les avancées du numérique doivent profiter davantage aux plus pauvres » (apprécier la nuance de l’adverbe «davantage»). 60 % de la population mondiale reste exclue d’une économie numérique en constante expansion. La fracture numérique accentue les inégalités entre ceux qui y ont accès et ceux qui ne l’ont pas.
 
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Rapport complet sur le site de la Banque Mondiale (en français)